Ce lundi de Pentecôte mérite à peine quelques commentaires puisqu’il aura fallu attendre l’ouverture des marchés américains à nouveau en hausse au moment de la clôture pour tirer l’indice parisien de sa torpeur, et l’aspirer vers un nouveau record annuel proche de 4600 dans un volume bien étriqué.
L’indice termine sur un chandelier de séance a priori favorable mais après trois séances consécutives de hausse un peu de consolidation n’aurait rien de particulièrement surprenant alors que le S&P 500 hésite logiquement à s’affranchir d’une zone compliquée entre 1940 et 1950 points.
Le Dow Jones gagne 0,11 % et s’octroie un nouveau record à 16.943, le Nasdaq surperforme en progressant de 0,34 % à 4336, et le S&P 500 grappille 0,08 % à 1951 points.
Sur fond de taux d’intérêt encore très bas et de chiffres qui laissent entrevoir une amélioration au niveau du commerce international le seuil des 4540 se sera probablement converti en un support intéressant, à moins d’observer un mouvement de consolidation appuyé sur les indices américains.
A priori, rien ne plaide en ce sens mais les catalyseurs pour une hausse supplémentaire feront peut-être encore un peu défaut puisqu’il faudra attendre près de 4 semaines avant de connaître les premiers résultats des entreprises américaines.