Le marché avait sans doute besoin d’un élément exogène comme la tension entre l’Ukraine et la Russie pour casser la léthargie des dernières séances et se trouver un prétexte de revenir visiter l’important point de rupture des 4355 points. Mais l’apaisement relatif sur une absence d’intervention russe relayé par un marché américain serein dans l’après-midi a rapidement effacé l’accès de fébrilité. L’indice parisien termine pratiquement inchangé dans le sillage de statistiques américaines assez positives. Les commandes de biens durables en […]
La confiance exprimée par Antoine Frérot dans les perspectives de rentabilité en 2014 après un exercice 2013 négatif pour raisons de dépréciation d’actifs a permis à Véolia de réagir positivement à l’image du gap d’échappement ouvert en début de séance, très au-dessus des 13 euros. La figure s’accompagne d’un volume considérable, quadruple de ce qu’il est d’ordinaire, plutôt de bon augure pour l’attaque prochaine des 14 euros, au sommet d’une anse de consolidation que l’on peut observer sur le graphique...
Après quelques mois de statistiques immobilières en retrait aux États-Unis, les ventes de logements neufs en hausse de 9,6 % en janvier témoignent, contrairement aux attentes, d’un climat immobilier toujours soutenu. mais, le S&P 500 ne franchissant toujours pas le cap des 1850, les opérateurs semblent intégrer de plus en plus la difficulté pour les marchés de grimper facilement plus haut, et le CAC 40 marque un peu plus clairement encore la fermeté de la résistance établie à 4420 points […]
Le marché s’installe dans une relative léthargie en attendant de savoir si le S&P500 s’autorise ou non à clôturer en territoire record au-delà de 1850 points au lendemain d’une sortie jusqu’à 1859 en séance la veille. Pendant qu’aux États-Unis les entreprises affichent fréquemment des résultats supérieurs aux attentes, le score est moins glorieux de ce côté de l’Atlantique, mais cela n’empêche pas le CAC 40 de coller aux 4420 et de finir la séance sur un chandelier de bonne facture...
Le 3 août dernier, dans notre dernière étude, alors que le Crédit Agricole cotait 7,65 euros, nous évoquions les fortes potentialités de hausse pour le secteur bancaire français, et un objectif par symétrie de l’ordre de 12,35 euros pour la banque verte. Aujourd’hui, le franchissement des 10,80 euros interpelle parce que c’est la dernière vraie résistance visible, avant de tendre vers cet objectif désormais à portée de main. Depuis août dernier, la forte convergence des taux en Europe témoigne d’une...



