Renault vient d’annoncer le désengagement de sa participation dans Volvo dont il détenait un solde de 10 % après une entrée à hauteur de près de 25 % il y a une vingtaine d’années. Le marché salue cette transaction censée permettre d’investir dans les usines françaises, en Russie et en Chine, où un feu vert des autorités à la première usine sur sol chinois paraît imminente.
Le titre n’est pas d’une très grande fiabilité graphique, mais on peut observer une résistance importante dans la zone des 42 EUR, qu’il faudrait déborder nettement pour compléter une configuration graphique assez engageante sur le long terme, et envisager de construire un retour vers la zone des 50 euros au cours des prochains mois.
En attendant, il semble difficile à court terme de reculer très en-deçà des 39 euros malgré la volatilité naturelle importante de ce genre de valeurs, aussi est-il sans doute judicieux d’envisager de prendre des positions en partie vers 40 euros, et de renforcer vers 39 euros.